L’inondation du
Pakistan a touché une grande partie du Pakistan. Elle a traversé le Nord au Sud,
environ sur 2 000 kilomètres. Elle a tué environ 1760 personnes, puis nuit
à 21 millions de Pakistanais, en plus de priver 10 millions de personnes de
leurs logements.
Pour la gestion
de la crise par les autorités, cela s’est passé plutôt mal. Le gouvernement
Pakistanais a été pointé du doigt, pour ce mal gestion de la situation. Il a
prédit une petite crise, tandis que ce fut un total déluge. La population
accuse leur président de ne pas les avoir aidés à temps. Les autorités n’étaient
pas du tout préparées à la grandeur de cette ampleur. Ils ont sous-estimé les dégâts
d’une telle catastrophe, ce qui a considérablement augmenté les ravages. Les
dommages faits ont été estimés à 43 milliards de dollars. La catastrophe aurait
pu être largement abrégée. L’inondation a visé majoritairement 2 des 4
provinces du Pakistan. La densité de places touchées est très élevée. Ce fut un
cauchemar d’essayer de prévenir tous les habitants concernés. Puisque les
moyens de communication étaient très négligeables. Malgré tout, le gouvernement
a fait évacuer le reste de la population, mais il était déjà un peu tard. La
densité de la population reste un facteur très important de vulnérabilité.
De plus,
l’occupation des territoires pakistanais est beaucoup en lien avec
l’agriculture des terres. Les vagues d’inondations ont endommagé 15 % de
la surface en culture, soit environ 3,6 millions d’hectares. 20 % de la
récolte de cotons ont été aussi affectés. Les dommages ont été présumés à
environ 3 milliards de dollars. De ce fait, plusieurs écosystèmes ont été
malheureusement touchés, mettant une partie du Pakistan en famine pour le mois
d’hiver qui suit.
Par conséquent,
plusieurs causes sont au rendez-vous. Les changements climatiques intenses (les
inondations) ont été causés par de fortes pluies, inondant ainsi plusieurs
régions. Il n’y a pas qu’une cause naturelle, mais aussi une cause créer par
les humains : la déforestation du pays. « Dans certains secteurs de la région de
Malakand, plus de 70 % des forêts ont été détruites par une «mafia du bois»
organisée et difficile à arrêter», explique Jamshed Ali, secrétaire général de
la Sarhad Awami Forestry Ittehad, une organisation qui lutte pour la
préservation des forêts. Puisque les forêts ne sont presque plus présentes au
Pakistan, ils n’ont donc pas pu ralentir l’écoulement des eaux. Cela même
accéléra la vitesse.
Au niveau
économique, le Pakistan est très fragile et sa croissance peu réjouissante. La
raison principale est que le pays est atteint d’une instabilité politique. Un
conflit interne entre différents groupes islamiques, plusieurs attentats, en
plus d’une crise économique perturbant ainsi le développement économique normal
du pays. Le pays a donc eu beaucoup de difficulté à fournir les outils et des
soldats aux pauvres sinistrés. Ils ont alors demandé de l’aide internationale,
ce qui malencontreusement retarda l’aide aux citoyens pakistanais.
Les fortes
précipitations ont rendu l’eau contaminée. Le gouvernement a mis en place par
la suite un programme visant à limiter la répartition des maladies hygiéniques.
Ce sont tous des facteurs qui, selon
moi, auraient pu être naturellement évités.
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