mardi 27 novembre 2012

Conférence 21 décembre 2012


Nous avons assisté à la conférence du 20 novembre 2012 donnée par Sébastien Gauthier, fondateur de l’organisme Cosmagora, communicateur scientifique et passionné de la science. Il a étudié la physique à l’université de Montréal. L’objectif de la conférence était de réfuter certains mythes donnés par de faux communicateurs de science (pseudo-science). IL nous a démontré que la pluparts des causes évoquées par les médias ne sont aucunement dangereuse à la race humaine. Le 12 décembre 2012 n’est pas la fin du monde. Selon Sébastien Gauthier, cela est peut-être une nouvelle ère de paix qui débutera. Il veut aussi nous faire développer notre esprit de façon rationnelle par la science.
Premièrement, pour ce qui est du calendrier Maya, celui qu’on voit partout dans les médias, est celui des Aztèques qui redémarre tous les 52 ans en réalité. Celui des mayas aurait un cycle périodique comme le nôtre. Sauf qu’ils ont une manière particulière de compter leurs jours, leurs, mois et leur années. Chaque 20 jour, l’unité supérieure augmente de 1 et  retombe à 0. Ex : 0-19 => 1-0. Le 21 décembre 2012 leur nombre sera 13.0.0.0.0.0. Le nombre 13 qui signifie la chance, et non le malheur. Ce qui veut dire que ce ne sera pas la fin du monde.  Donc l’interprétation des pseudo-scientifiques sur la théorie des mayas est totalement fausse.
Ensuite, M. Gauthier nous a fait part de faits concernant  l’alignement du système solaire tous les 26 000 ans. En réalité ce phénomène se passe tous les solstices d’hiver. Donc, à chaque année, l’alignement se produit. 
Pour ce qui est des éruptions solaires, c’est un cycle périodique naturel. Plus il y de tâches sur la surface du soleil, plus il y a risque d’éruptions solaires. Or, ce n’est qu’une coïncidence qu’il y est plus tâches dans ce cycles. De plus, auparavant, il y a eu de plus grosses éruptions. Même si les éruptions sont très fortes, la terre est protégée par un champ magnétique et l’atmosphère terrestre. Cela cause des aurores boréales qui sont nullement néfaste et très spectaculaire.
Le conférencier souligne également l’alignement des planètes. Après avoir vu un exemple visuel su cycle des planètes dans notre système solaire, nous constatons très clairement que les planètes sont très éloignées l’une de l’autre.
Pour conclure, il n’y aura pas de fin du monde.

Équipe4
                Félix Milette
William Blais
Philippe Samson

jeudi 8 novembre 2012

Présentation des facteurs de vulnérabilité des populations touchées


L’inondation du Pakistan a touché une grande partie du Pakistan. Elle a traversé le Nord au Sud, environ sur 2 000 kilomètres. Elle a tué environ 1760 personnes, puis nuit à 21 millions de Pakistanais, en plus de priver 10 millions de personnes de leurs logements.

Pour la gestion de la crise par les autorités, cela s’est passé plutôt mal. Le gouvernement Pakistanais a été pointé du doigt, pour ce mal gestion de la situation. Il a prédit une petite crise, tandis que ce fut un total déluge. La population accuse leur président de ne pas les avoir aidés à temps. Les autorités n’étaient pas du tout préparées à la grandeur de cette ampleur. Ils ont sous-estimé les dégâts d’une telle catastrophe, ce qui a considérablement augmenté les ravages. Les dommages faits ont été estimés à 43 milliards de dollars. La catastrophe aurait pu être largement abrégée. L’inondation a visé majoritairement 2 des 4 provinces du Pakistan. La densité de places touchées est très élevée. Ce fut un cauchemar d’essayer de prévenir tous les habitants concernés. Puisque les moyens de communication étaient très négligeables. Malgré tout, le gouvernement a fait évacuer le reste de la population, mais il était déjà un peu tard. La densité de la population reste un facteur très important de vulnérabilité.


De plus, l’occupation des territoires pakistanais est beaucoup en lien avec l’agriculture des terres. Les vagues d’inondations ont endommagé 15 % de la surface en culture, soit environ 3,6 millions d’hectares. 20 % de la récolte de cotons ont été aussi affectés. Les dommages ont été présumés à environ 3 milliards de dollars. De ce fait, plusieurs écosystèmes ont été malheureusement touchés, mettant une partie du Pakistan en famine pour le mois d’hiver qui suit.



Par conséquent, plusieurs causes sont au rendez-vous. Les changements climatiques intenses (les inondations) ont été causés par de fortes pluies, inondant ainsi plusieurs régions. Il n’y a pas qu’une cause naturelle, mais aussi une cause créer par les humains : la déforestation du pays. « Dans certains secteurs de la région de Malakand, plus de 70 % des forêts ont été détruites par une «mafia du bois» organisée et difficile à arrêter», explique Jamshed Ali, secrétaire général de la Sarhad Awami Forestry Ittehad, une organisation qui lutte pour la préservation des forêts. Puisque les forêts ne sont presque plus présentes au Pakistan, ils n’ont donc pas pu ralentir l’écoulement des eaux. Cela même accéléra la vitesse.

Au niveau économique, le Pakistan est très fragile et sa croissance peu réjouissante. La raison principale est que le pays est atteint d’une instabilité politique. Un conflit interne entre différents groupes islamiques, plusieurs attentats, en plus d’une crise économique perturbant ainsi le développement économique normal du pays. Le pays a donc eu beaucoup de difficulté à fournir les outils et des soldats aux pauvres sinistrés. Ils ont alors demandé de l’aide internationale, ce qui malencontreusement retarda l’aide aux citoyens pakistanais.




Les fortes précipitations ont rendu l’eau contaminée. Le gouvernement a mis en place par la suite un programme visant à limiter la répartition des maladies hygiéniques.  Ce sont tous des facteurs qui, selon moi, auraient pu être naturellement évités.

mardi 6 novembre 2012

Présentation des conséquences environnementales et humaines


Présentation des conséquences environnementales et humaines

Cette inondation a été l’unes des plus importantes catastrophes naturelles sur le plan environnementales et humaines parce qu’elle a été très mal gérée par les autorités pakistanaises.

Tout d’abord, plusieurs points d’eau ont été détruits et ont privés des milliers de familles d’eau. Le pays entier on a été obligé, dans cette situation catastrophique, de faire venir l’eau de l’extérieur du pays.  Donc, il n’y a plus d’eau potable, car elle est contaminée par l’inondation.
Plusieurs ponts ont été démolis à cause des rivières qui atteignaient un haut débit tout en débordant. Les habitants devaient marcher pendant 10 km pour aller chercher de l’aide et de la nourriture car les routes étaient inaccessibles. Donc, il y a des gens coincés loin de l’aide disponible à cause de l’inondation. Les entreprises ne pouvaient plus exporter à cause de l’achalandage sur les routes par rapport au peu de routes qu’il avait de disponible.
{Image montrant un pont démoli}

À cause de l’inondation, plusieurs entreprises ont été obligées d’arrêter leurs activités. Les industries qui fabriquaient du textile ont eu d’importantes coupures à cause du manque d’électricité. L’une des plus importantes raffineries au pays, qui se trouvait à Mulan, en a eu aussi à causes des nombreuses coupures. Avant la catastrophe, le pays prévoyait une importante hausse dans l’activité économique de 2,5%. Malheureusement, à cause de l’inondation, cette hausse s’en est allé  en baisse. De plus, les besoins d’aides financières amassées par l’ONU n’ont été comblés qu’à 50%.
Selon l'ONU, 9 780 écoles publiques ainsi que des écoles privés ont été détruites ou endommagées, soit approximativement 6 % des écoles du pays. Jusqu'à 2,5 millions d'enfants ont ainsi été affectés.
{citation de wikipédia}
Quand il est question de perte économique, il est souvent question d’importants dégâts sur les bâtiments. Plusieurs personnes ont été privées d’enseignement à cause des écoles qui ont été détruites et plusieurs personnes de soins parce que les hôpitaux ont été détruits. De plus, plusieurs usines de traitement d’eau ont été démolies.

{Image montrant d'importants dégâts sur le bâtiments}

Comme nous pouvons remarquer sur la carte, la partie qui a été le plus touchée se trouve au coeur du pays.

Sur le plan de l’agriculture et de l’élevage, cet évènement a provoqué une importante baisse d’exportation parce que l’inondation a détruit 3,6 millions d’hectares de surface d’agriculture. Ce qui a causé une perte de 3 milliards de dollars. De plus, les sites d’élevage ont eu une grande perte de bétails parce qu’il se noyait. Les gens ont perdus leurs réserves et leur graines de poussent. Pour en remettre davantage, les agriculteurs ne pouvaient plus cultiver parce que les terres étaient contaminées par l’inondation.

Les habitants du Pakistan ont été très touchés par la santé à cause du manque de personnel dans les hôpitaux et les hôpitaux qui ont été détruites. Les habitants étaient beaucoup malades parce que l’eau était contaminée et ont eu des infections respiratoires. Ils ont été beaucoup malades aussi à cause du manque de nourriture. La sécurité était à son plus bas à cause du manque de personnel. La criminalité s’en est allé en hausse et il y avait beaucoup plus de cas de violence dans le pays.  

Pour conclure, L’ONU a déclaré que l’inondation survenue su Pakistan en 2010 aurait été l’une des plus dévastatrice sur le plan des conséquences environnementales et humaines.


Sur la photo ci-dessus, il y a un camp de réfugier qui contient des milliers de tantes pour accueillir les familles sinistrées.

Philippe Samson

lundi 5 novembre 2012

Interventions d'urgence et conséquences géopolitiques

Lors d’une catastrophe naturelle d’une telle ampleur, la gestion de la situation par ceux qui le peuvent est capitale. Malheureusement pour nos pakistanais, l’aide pour limiter les désastres de l’inondation de 2010 ne fut pas à la hauteur de la situation. Il s’agit d’abord d’une mauvaise gestion des autorités du pays elles-mêmes, fortement critiquée par plusieurs.

Youssouf Raza Gilani, ex-premier ministre du Pakistan
D’abord, le gouvernement a mal jugé l’importance de la catastrophe, et tout ce que ça pouvait causer comme dommages. Ainsi, lorsque ça a empiré, il fut totalement pris de court et ne put gérer comme il l’aurait dû. Le gouvernement de Youssouf Raza Gilani (Premier ministre du Pakistan de 2008 à 2012) se tourna alors vers l’aide internationale. Les réponses furent nombreuses, notamment de la part d’organisations non-gouvernementales telles que la Banque mondiale ou encore le Fond monétaire international; de la part l’ONU, qui a hébergé les réfugiés dans des écoles et fournit plusieurs tentes et des bâches à la population, de l’Union Européenne; et de la part de pays, comme les États-Unis, le Japon, la Suisse, la Chine, l’Arabie Saoudite avec le chiffre le plus élevé en dons financiers (362 millions de dollars), et plusieurs autres. Toute aide de l’Inde, pays voisin du Pakistan dont le territoire de ce dernier faisait partie il y a quelques décennies, fut catégoriquement refusée, à moins qu’elle ne passe par l’ONU. Pour ce qui est de l’armée pakistanaise, elle envoya au départ 30 000 soldats sur le terrain, puis, vers la fin, le nombre est passé à 60 000. L’inefficacité générale du gouvernement changea la perception du peuple face à lui, le rendant plus méfiant, entre autres.

Pour ce qui est de l’impact économique, La situation économique du pays étant déjà en fort mauvaise posture avant la catastrophe, celle-ci fut désastreuse, coûtant environ 5.3 millions d’emplois et replongeant le pays de plus belle dans l’instabilité.

Il ne faut pas oublier que l’inondation s’est déroulée dans un contexte d’insurrection islamiste. L’échec du gouvernement à prendre en mains la situation risquait de permettre aux islamistes d’accroître leur influence sur le peuple pakistanais, en offrant eux-mêmes de l’aide par exemple (c’est d’ailleurs ce qui s’est produit dans certaines régions de pays, au nord-ouest principalement –zone en brun sur la carte ci-jointe), et en recrutant de nouveaux combattants dans le chaos produit par la catastrophe. Les talibans en ont profité pour tenter d’attaquer certaines aides humanitaires externes (ou du moins, selon le gouvernement américain, qui n’est peut-être pas une source tout à fait objective sur ce point), et ont continué les actes de terrorisme malgré la situation. Ils ont également demandé aux autorités de refuser l’aide des pays occidentaux, majoritairement non-musulmans. Le chef de l’organisation Al-Qaïda Oussama Ben Laden a présenté ses sympathies pour les pakistanais touchés par l’inondation. Donc si on compile leurs actions avec la perte de confiance envers le gouvernement de la part du peuple à cause de son incompétence, l’événement fut un certain avantage pour les talibans. Néanmoins, ces derniers ne réussirent pas à prendre le pouvoir du pays grâce à ça, et le conflit est d’ailleurs toujours d’actualité de nos jours.

Oussama Ben Laden, défunt chef de l'organisation Al-Qaïda
 Félix Milette